Fil d'actus
Najat Vallaud-Belkacem, la ministre des droits des femmes a confirmé aujourd’hui que les partis ne présentant pas autant de femmes que d’hommes aux prochaines élections se verraient retirer leurs subventions.
©AFP
Alors que l'on pressentait qu'ils briguaient tous les deux la présidence du PS lors du prochain congrès, Jean-Christophe Cambadélis et Harlem Désir devraient présenter un ticket commun.
©Jacques Demarthon/AFP
A l'heure où le FN réussit une percée électorale menaçante, les élus de la droite populaire connaissent un paradoxal effondrement de leur mouvement.
©La Croix
François Hollande puis Jean-Marc Ayrault se sont rendus ce matin au Mont-Valérien, pour célébrer pour commémorer l’appel du 18 juin.
Après le second tour des élections législatives, chaque groupe doit désigner son président. A l'UMP, les candidats à ce poste font connaitre leurs ambitions.
©Libération
155, c’est le nombre de femmes qui siègeront à l’Assemblée nationale. Ce chiffre sans précédent en France est toutefois à nuancer car la féminisation ne progresse pas dans tous les partis.
A peine la composition du nouveau Parlement dévoilée, François Hollande doit faire face à plusieurs rendez-vous internationaux cruciaux sur son agenda pour la semaine à venir.
©Le parisien
Nicolas Sarkozy a préféré prendre les devants et communiquer lui-même son agenda de l’année 2007 au juge d’instruction en charge de l’affaire Bettencourt. Quelques jours après sa perte d’immunité, l’ancien président de la République risque de nombreuses convocations dans les bureaux des juges.
Après l'accusation lancée par l'avocat de Nicolas Sarkozy dans le JDD ce week-end, le ministre Michel Sapin dément s'être jamais rendu au domicile de Liliane Bettencourt.
Après des défaites électorales qui s'enchaînent depuis près de cinq ans, la droite républicaine doit désormais s'atteler à se trouver un nouveau président, alors que le congrès de l'automne prochain promet d'être meurtrier.i
Après Claude Bartolone et Jean Glavany, c'est au tour d'Elisabeth Guigou de faire connaitre son appétence pour le perchoir de l'Assemblée nationale.
©Paris Match
Lors des élections législatives, la gauche a réussi à remporter 7 des 10 sièges de députés dans le département de l’Essonne. Le duel médiatique entre Nathalie Kosciusko Morizet et le socialiste Olivier Thomas s’est achevé hier en faveur de l’ancienne ministre.
Lors du second tour des élections législatives la gauche a réussi à remporter pas moins de six sièges de députés, dans un département pourtant ancrée à droite. Certains députés UMP comme Yanick Paternotte, Jean Bardet ou Georges Mothron ont été battus.
La gauche a réussi à ravir trois sièges sur onze lors du second tour des élections législatives. La vague rose a ainsi été confirmée dans ce département évinçant même l’UMP Patrick Beaudouin de la 6ème circonscription qui est pourtant le fief de la droite dans ce département.
©Reuters
Il n'y a pas qu'en France qu'on votait hier : les grecs ont également désigné leur nouvelle majorité parlementaire, avec un léger avantage pour la droite.
©La Montagne
Malgré sa progression en voix, la gauche n’est pas parvenue à ravir un siège à la droite, contrairement à 2007. La 1ère et la 13ème circonscription, convoitées par les socialistes Claire Morel et Capucine Edou sont restées aux mains de l’UMP.
A l'issue du second tour des législatives en Seine-Saint-Denis, il ne reste plus qu'un député de droite, Jean-Christophe Lagarde. Les socialistes remportent les 11 autres sièges.
Maintenant que les législatives sont passées et que la bataille pour la direction de l'UMP se prépare, le chiraquien François Baroin se porte candidat et vide son sac après des semaines de dérive lepéniste de son parti.
Après le second tour des législatives, le Front de Gauche a tenu une réunion spéciale de ses cadres et semble avoir décidé de ne pas participer au prochain Gouvernement de Jean-Marc Ayrault.
Lors du second tour des législatives les socialistes ont réussi une percée historique dans le département des Hauts-de-Seine, ancrée à droite depuis des décennies.
A gauche comme à droite, ces élections législatives ont apporté leur lot de surprises. Certaines personnalités de la vie politique française ont perdu leur course à l’Assemblée nationale.
Malgré la fatwa lancée contre elle par Marine Le Pen, l'ancienne ministre NKM a réussi à conserver son siège dans l'Essonne.
Après la défaite de Ségolène Royal à la Rochelle et sa propre réélection en Seine-Saint-Denis, Claude Bartolone a annoncé être candidat à la présidence de l'Assemblée nationale.
©Bertrand Langlois/AFP
Après le résultat des législatives qui donne une majorité absolue à la gauche, François Hollande a chargé Jean-Marc Ayrault de former un nouveau Gouvernement.
L’enjeu était de taille puisque le premier ministre avait annoncé que les candidats aux législatives perdant l’élection devaient quitter leurs fonctions ministérielles. Mais les 25 ministres du gouvernement de Jean-Marc Ayrault ont tous été élus ou réélus dont six dès le premier tour.
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