Fil d'actus
©Reuters
Contrairement au chef de l'état sortant, le Premier Ministre François Fillon a refusé ce matin de rentrer dans un discours anti-syndicats.
L'occasion est trop belle pour ne pas la saisir. Devant la verve antisyndicale de son rival, François Hollande a choisi d'écrire aux syndicats, à la veille du 1er mai, pour les rassurer sur sa vision de la démocratie sociale.
L'actuelle première secrétaire du Parti Socialiste a confirmé aujourd'hui qu'elle ne resterait pas à la tête du parti après l'élection présidentielle.
Dans une interview accordée à Libération, le responsable de la CFDT revient sur la campagne actuelle du chef de l'état, pour en dénoncer les fondements mêmes.
©AFP/Joel Saget
Alors que le week-end a été marqué par des polémiques concernant Dominique Strauss-Kahn, les responsables socialistes ont clairement fait comprendre qu'ils ne voulaient plus entendre parler de lui.
©AFP/Fred Dufour
Pour son dernier grand meeting parisien, François Hollande a voulu mobiliser en masse son électorat en dressant un vibrant appel à l'humanisme de chacun.
©AP/Michel Euler
Lors de son discours de Toulouse cet après-midi, le président sortant a choisi de rester sur le registre adopté au lendemain du second tour et de dresser un vibrant plaidoyer pour la nation.
©AFP/Stephane de Sakutin
Suite aux révélations faites par le site Mediapart, le chef de l'état sortant accuse ce site d'information de mensonges.
Un des dossiers les plus brûlants du prochain quinquennat menace d'être la prochaine vague de plans sociaux qu'annoncent depuis des mois les syndicats et salariés.
Deux semaines après la bataille des meetings en plein air de Vincennes et la Concorde, François Hollande et Nicolas Sarkozy récidivent, en livrant un duel à distance, l'un à Paris, l'autre à Toulouse.
©Florent Dupuy/Sipa
Devant la menace Marine Le Pen, le Front de Gauche et le Parti Socialiste ont commencé à négocier pour les prochaines législatives, afin d'éviter que la gauche ne soit éliminée du second tour dans certaines circonscriptions.
Lors de son meeting de Clermont-Ferrand, Nicolas Sarkozy a répondu aux accusations parues hier du camp DSK, de manière virulente.
La première semaine de campagne entre les deux tours aura révélé la rupture des digues existants entre la droite républicaine et l'extrême-droite.
Le candidat socialiste a jugé que l'attitude de Nicolas Sarkozy depuis les résultats du premier tour était totalement "déplorable".
©AFP/Lionel Bonaventure
Après les accusations de Dominique Strauss-Kahn proférées cette semaine dans un quotidien anglais, la porte-parole de Nicolas Sarkozy accuse le candidat socialiste d'avoir été au courant des affaires entourant le socialiste.
©AFP/Sébastien Bozon
Alors que son patron drague l'extrême-droite, le premier ministre reste davantage fidèle à ses convictions en lançant un vibrant appel aux centristes.
L'affaire Karachi semble s'emballer alors que Nicolas Bazire et Edouard Balladur sont accusés d'avoir ordonné le dépôt de sept millions de francs.
Les appels à voter contre Nicolas Sarkozy se multipliant à envi, son équipe demande désormais au CSA de prendre ce nouvel élément en compte dans les temps de parole.
Une énième polémique a éclos ce matin concernant une fausse accusation d'une députée UMP envers Najat Vallaud-Belkacem.
Une récente étude d'opinion montre que près de 2/3 des français sont très inquiets pour leur avenir.
A une semaine du second tour, et alors que les sondages le donnent gagnant depuis plus de six mois, difficile pour le candidat socialiste de ne pas afficher sa confiance en la victoire.
Après François Hollande, ce fut au tour de Nicolas Sarkozy de répondre à la lettre que leur a adressé François Bayrou il y a quelques jours.
En déplacement à Dijon hier après-midi, le président candidat a tenu à dénoncer le "procès stalinien" que tiendraient certains de ses adversaires contre lui.
©AFP/Ed Jones
A une semaine du second tour de l'élection présidentielle, DSK revient sur le devant de la scène et affirme qu'il y a eu un complot dans l'affaire du Sofitel qui a mis fin à ses prétentions présidentielles.
De plus en plus de voix se font entendre au sein de la majorité présidentielle pour protester contre la lepénisation de la campagne de Nicolas Sarkozy.
Paris Dépêches est édité par une association indépendante, sans aucune subvention.
Si vous appréciez notre travail, vous pouvez nous soutenir :
- Adhérer à l'association
- Faire un don
Vous pensez qu' un sujet mérite d'être traité ?
Vous constatez un problème mais personne n'en parle ?
© 2013 AMLCF - Réalisation : NokéWeb