Fil d'actus
En perte dans les sondages, Marine Le Pen part sur le terrain de l'islamisation de la société pour mieux dénoncer le laxisme de Nicolas Sarkozy, qui lui aussi justement braconne sur les terres de l'extrême-droite.
A plus d'une dizaine de jours du premier tour, les deux principaux candidats et leurs équipes se chamaillent sur les chiffrages de leurs programmes respectifs.
©AFP/Kenzo Tribouillard
Synthèse du "programme" de Nicolas Sarkozy.
La conférence de presse tant attendue aura accouché d'une souris : aucune annonce ou presque n'a été faite et le flou continue de régner sur le programme de Nicolas Sarkozy.
La Cour de Cassation a décidé hier de juger recevable l'accès au volet financier de l'affaire Karachi par les familles des victimes.
Après l'arrivée de Free sur le marché, l'opérateur SFR connait d'immenses difficultés économiques qui menacent de susciter une vague de plans sociaux.
D'abord cordiale quand il fut ministre de l'intérieur, la relation entre Nicolas Sarkozy et l'islam aujourd'hui est devenue tendue, voir troublée par le quinquennat du Président Sarkozy.
Après la publication de la feuille de route du candidat socialiste, l'UMP s'est évidemment évertué à taper dessus, lui niant toute légitimité ou faisabilité.
©AFP/Damien Meyer
C'était un point fort de la campagne du candidat socialiste, qui a retrouvé hier soir à Rennes son ancienne compagne, également ancienne candidate. L'évènement a fait le buzz.
Malgré la défection de certains cadres de son parti, le candidat Philippe Poutou tient le cap et veut continuer à résister au tourbillon du Front de Gauche.
©AFP/Jacques Demarthon
Il a été mis au courant dès le début par François Hollande : si les socialistes arrivent au pouvoir, certains hauts fonctionnaires devront quitter leurs postes, dont le controversé Bernard Squarcini.
©Capture d'écran
Invité par l'IEP de Paris pour répondre aux questions du magazine ELLE, François Hollande décline son programme féminin, bien décidé à capter cet électorat.
©Eric Piermont/AFP
Malgré l'amour évident qu'elle semble porter à Nicolas Sarkozy, et la crainte qu'elle montre devant la gauche, Laurence Parisot promet qu'elle pourrait travailler avec n'importe qui.
©AFP/Alain Jocard
Après l'engouement de la presse qui découvrait son nouveau chouchou politique, celui qui monte dans les sondages, place au temps du chiffrage, étape incontournable de cette campagne inédite.
©Miguel Médina
Après la modification des horaires de la SNCF en décembre dernier, de nombreuses plaintes et réclamations ont été déposées, mais une médiatrice s'occupe de régler ces cas.
La mort du directeur de Sciences Po Paris survenue mardi à New York n'a toujours pas trouvé d'explications, même après l'autopsie.
©Jean-Sebastien Evrard/AFP
La candidate a repris des couleurs à Nantes hier soir, et a réaffirmé toute sa détermination à mener campagne, malgré les difficultés, et à parler d'écologie malgré la crise.
Socialistes et membres de l'UMP continuent de s'écharper sur les auditions sénatoriales relatives aux services du renseignement français.
©Reuters/Philippe Wojazer
Après François Hollande ce week-end, c'était au tour de Nicolas Sarkozy de se rendre rapidement à la Réunion, où il a livré quelques annonces économiques.
©Thierry Zoccolan/AFP
En meeting hier soir à Limoges, Jean-Luc Mélenchon a livré un discours à la fois habituels sur certains thèmes, mais aussi innovants en choisissant de parler de jeunesse.
©Jean-Claude Coutausse
Le think-tank proche de la gauche, Terra Nova, voit dans le futur programme du candidat Sarkozy un plan massif de rigueur pour la France, tel qu'on en a pas vu depuis 1945.
©Capture d'écran
L'équipe du candidat Sarkozy a ouvert lundi une plateforme participative pour que les internautes et militants puissent y faire des propositions et suggestions.
Au Front de Gauche, il n'y a pas que Jean-Luc Mélenchon qui s'attaque à l'extrême-droite et sa représentante Marine Le Pen. Un de ses lieutenant est entré sur le ring il y a plusieurs mois déjà, et s'active pour combattre le FN, sur tous les fronts.
©AFP/Gérard Julien
Après la deuxième vague d'arrestations d'islamistes radicaux, les partis de l'opposition dénoncent leur mise en scène, à moins d'un mois de l'élection présidentielle.
En compagnie de quelques ténors du parti, Jean-François Copé s'est livré hier à l'exercice du télé-meeting pour faire participer les militants au combat.
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