Fil d'actus
Le cessez-le-feu présidentiel décrété hier après la tuerie de Toulouse n'aura duré que quelques heures et déjà certains osent avancer des explications plus politiques, comme François Bayrou hier soir à Grenoble.
La campagne est peut-être en suspens mais dés aujourd'hui les candidats vont devoir se soumettre aux exigences de l'égalité des temps de parole dans les médias.
Le chef de l'état a annoncé hier en début de soirée l'activation du plan Vigipirate dans la région de Toulouse suite à la fusillade survenue hier matin.
Après le succès de la Bastille certains membres d'Europe Ecologie essaient sans talent de dénigrer le candidat du Front de Gauche. Un seul écologiste s'amuse de la situation.
La prise de la Bastille hier effectuée par Jean-Luc Mélenchon redistribue les cartes à gauche et met à mal l'alliance entre PS et EELV.
Invité hier soir de l'émission Capital, le candidat-président a sorti une floppée d'annonces de son arsenal, sans échapper à plusieurs erreurs et approximations dans son discours.
Devant la montée de Jean-Luc Mélenchon et la baisse de leur champion au premier tour, les socialistes appelent au vote utile et à aller voter.
Ségolène Royal a mis au défi son ancien rival hier en l'accusant de vouloir être élu uniquement pour ne pas être convoqué par les juges.
Si le divorce n'est pas encore au programme, les relations entre Angela Merkel et Nicolas Sarkozy se sont sérieusement dégradées cette semaine au point où l'allemande ne veut plus se mêler de la campagne française.
François Bayrou a fait une escale en outre-mer ce week-end pour y développer quelques propositions.
En passage hier au Salon du livre, François Hollande en a profité pour égratigner son adversaire et montrer qu'il avait repris du poil de la bête.
Elle fut la première à déposer ses 500 parrainages au Conseil Constitutionnel et à s'assurer une présence au premier tour de la présidentielle. Mal connue des français, elle compte sur l'égalité des temps de parole pour prendre la relève d'Arlette Laguiller.
Marqué par le sceau de Gandrange, la politique industrielle de Nicolas Sarkozy aujourd'hui souffre d'un bilan très négatif. Un constat que lequel le président sortant n'insiste pas du tout.
Jeudi soir sur France2 François Hollande a défini sa position controversée sur l'euthanasie.
Au Cirque d'Hiver cet après-midi le candidat socialiste a défendu une alliance sociale-démocrate en Europe contre les conservateurs actuellement au pouvoir.
Si l'élection présidentielle est un enjeu de taille pour le Front de Gauche, les cadres du parti préparent soigneusement les législatives pour conforter leur place dans la vie politique française.
Une nouvelle fois hier soir le candidat UMP a attaqué les 35heures, une faute historique selon lui qui plombe encore l'économie française.
Le candidat UMP l'a réaffirmé hier à Meaux : s'il est réélu, les français disposeront d'une carte vitale biométrique, pour lutter contre les fraudes.
Interrogé sur ce sujet jeudi soir sur France2, François Hollande a tenté de définir quelle serait sa politique d'immigration s'il arrivait au pouvoir.
Le candidat socialiste à l'élection présidentielle a reçu hier soir les leaders socialistes européens, et a reçu le soutien officiel de la SPD qui s'est rallié à ses vues sur le traité européen.
Dans un email envoyé à quelques 600 000 expatriés, la porte-parole de Nicolas Sarkozy tente de les rassurer sur sa proposition faite cette semaine.
A l'heure où le candidat du Front de Gauche semble faire l'unanimité sur la qualité de sa campagne, quel est son programme présidentiel ? Quelles sont les mesures phares de sa plateforme présidentielle ? DECRYPTAGE.
Un élu UMP a saisi le CSA pour lui demander d'incorporer les interviews de la journaliste Audrey Pulvar dans le temps de parole des socialistes.
A Strasbourg le candidat socialiste a développé toute une série de mesures qu'il appliquerait, en cas d'élection, pour désenclaver les quartiers pauvres.
Après les critiques de la proposition de supprimer le mot "race" de la constitution par l'actuel chef de l'état, la LICRA lui reproche de tenir le même raisonnement que le FN.
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