Fil d'actus
Après avoir annoncé beaucoup plus tôt que prévu sa candidature, Nicolas Sarkozy adopte un modèle bien particulier pour gagner.
Les employés d'Arcelor Mittal tiennent leur promesse de devenir "le cauchemar du Gouvernement", en commençant à occuper Florange ce matin.
Une des premières propositions qu'a fait Nicolas Sarkozy en ce début de campagne, c'est l'instauration d'une part de proportionnelle lors des élections législatives. Problème ? Il avait déjà fait le coup en 2007.
©AFP/Frederick Florin
Alors que le débat sur le nucléaire prend place dans la campagne présidentielle, l'association Greenpeace présente aujourd'hui son rapport sur l'état du nucléaire en France.
Ce week-end le candidat socialiste a reçu des menaces de mort. Pourtant, il ne compte pas à déroger à ses habitudes de campagne.
L'offensive à droite ne vient pas seulement du camp Sarkozy mais aussi du camp Front National qui voit avec inquiétude le chef de l'état revenir sur son territoire.
Sur Twitter, le candidat UMP déchaine les internautes qui crient à la censure.
L'affaire Guérini a rebondi la semaine dernière après la convocation de l'élu chez le juge. Aujourd'hui le président de conseil général risque de voir lever son immunité parlementaire.
©AFP/Gerard Cerles
L'ancien ministre de l'environnement pourrait atterir à la tête du géant Veolia cette semaine, grâce à d'habiles négociations de Nicolas Sarkozy et Henri Proglio.
S'il accuse Nicolas Sarkozy d'être violent dans sa campagne présidentielle, François Hollande refuse cependant de s'abaisser au même niveau que le président sortant.
©Reuters/Pascal Rossignol
A plus de mille kilomètres de distance, Marine Le Pen et Nicolas Sarkozy se sont lancés dans un concours de populisme, cherchant tous deux à attirer le même électorat. Avec avantage pour le moment à la candidate du Front National.
©AFP/Joel Saget
L'ancienne candidate socialiste à la présidentielle devra finalement affronter un concurrent de son parti aux élections législatives de juin 2012.
Premier meeting de campagne pour le chef de l'état qui accuse un sérieux retard dans les sondages. Priorité pour l'UMP : embrayage à droite toute sur sécurité, nation et immigration.
La droitisation de la campagne de Nicolas Sarkozy commencée dès la semaine dernière, est essentiellement dûe à l'influence d'une seule personne : Patrick Buisson, idéologue de l'Elysée, mais les personnalités d'extrême-droite fleurissent autour du candidat UMP.
Qui ira le plus loin sur le thème de la nation, de l'identité et de l'immigration ? Nicolas Sarkozy ou Marine Le Pen ? Avec deux grands discours prévus aujourd'hui pour les deux candidats, la frontiste a déjà pris de l'avance hier.
©AFP/Loïc Venance
Le député socialiste Christian Eckert accuse Valérie Pécresse et ses services de couvrir un homme d'affaires mis en cause dans l'affaire ELF et généreux donateur de l'UMP.
Après les juges américains, c'est au tour des juges français de convoquer l'ancien directeur du FMI à Lille, mardi prochain, dans l'affaire du Carlton. Il risque une mise en examen.
Après Lejaby, Seafrance et Photowatt, c'est au tour de Florange de s'inviter dans la campagne présidentielle. Seule différence : les employés de cette entreprise ont clairement l'intention de faire perdre l'UMP si on ne se charge pas d'eux.
La fin de semaine est tranquille pour le candidat socialiste qui retourne sur ses terres de Corrèze boucler le budget départemental. Mais départemental et national ne sont jamais très éloignés.
©François Bouchon/Le Figaro
Aux états généraux du commerce ce matin le chef de l'état a relancé le débat sur le travail du dimanche...avant que le candidat socialiste ne se lance sur la même voie.
A l'occasion du sommet franco-britannique qui se tenait ce matin à l'Elysée, les dirigeants des deux pays ont eu l'occasion de réchauffer leur relation quelque peu distendue par la crise de la zone euro.
©AFP/Lionel Bonaventure
Après son mari, c'est au tour de Carla Bruni-Sarkozy d'entrer, plus discrétement certes, dans la campagne présidentielle.
L'union est à la mode au Parti Socialiste : relativement discrets depuis la fin des primaires, Arnaud Montebourg et Ségolène Royal parcourent cependant la France pour défendre leur champion.
©Babiz Chibane/Sipa
La réforme aura été médiatiquement occultée par l'annonce de candidature de Nicolas Sarkozy mais la réforme de la formation des enseignants a été adoptée par l'Assemblée nationale cette semaine, discrètement mais très vite.
Le Front de Gauche va être content : le Bureau national du PS a décidé de ne pas voter en faveur du MES mardi prochain. Un refus sur la forme plus que sur le fond cependant.
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