Paris (75) Sport

PSG, droit au but : comme en 2015

Publié le  Par Lucie Oleszkiewicz

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Comme en 2015, notre supportrice marseillaise analyse d’un trait volontairement sarcastique le week-end du PSG. Comme en 2015, le club de la capitale s’impose en Ligue 1. On ne change pas les bonnes habitudes. Les mauvaises non plus.

On prend les mêmes et on recommence ! Après une difficile qualification pour les 1/6e de finale de Coupe de France sur la pelouse du club amateur de Wasquehal (1-0), le leader du championnat de France retrouvait la Ligue 1 vendredi soir. Et face à Bastia, le PSG a repris ses habitudes de 2015 : une nouvelle victoire (2-0 : buts de Thiago Motta et Maxwell), une erreur de son gardien Kevin Trapp et une interview arrogante signée Zlatan Ibrahimovic. Et oui tout le monde n’a pas pris de bonnes résolutions pour l’année 2016 !

La routine parisienne

Si on pensait qu’après la trêve hivernale, le championnat de France serait un peu plus passionnant, la 20e journée de Ligue 1 a vite remis les pendules à l’heure : le PSG court vers un nouveau titre de Champion de France. Sans forcer, les Parisiens s’imposent (2-0) même si sur le terrain on a connu plus excitant (non je ne parle pas de ce soporifique OM - Guingamp de dimanche soir !).
 

Kevin Trapp lui, entame cette nouvelle année comme il avait terminé la précédente : avec une belle petite boulette ! Sur une frappe bastiaise, le gardien allemand relâche le ballon mais est sauvé par sa défense qui contre Palmieri et Squillaci. Une erreur sans incidence cette fois-ci, mais ça commence à faire beaucoup, non ?

Un melon signé Zlatan

Plutôt discret pendant le match, Ibrahimovic a surtout fait parler de lui avec son interview donnée à BeIN Sport. Comme d’habitude il nous dit que les équipes où il a joué « étaient dominantes parce qu’(il) y jouais » et qu’il écrit « l’histoire » du PSG . Il tacle au passage les joueurs de Ligue 1 en disant que «certains pensent déjà être des joueurs complets et accomplis. Jusqu’à ce qu’ils jouent contre nous. Et là ils savent vraiment où ils en sont ». Mais la palme de l’arrogance revient à cette phrase quand il parle de l’Euro : « Je suis quasiment sûr que les Français me supporteront encore plus que leur équipe nationale ». Il peut toujours rêver !
 

Lucie Oleszkiewicz







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