Google se dit fier de payer très peu d'impôts.

Alors que la France et la Grande-Bretagne travaillent actuellement sur des procédés de renforcement de la lutte contre l'évasion fiscale, le patron de Google, Eric Schmidt, leur répond ce matin dans un entretien à Bloomberg en se disant fier des mesures d'optimisation fiscale prises par son groupe pour ne payer qu'un montant minimal d'impôts (7,5 millions d'euros sur un chiffre d'affaire de 3,1 milliards d'euros).

"Cela s'appelle le capitalisme. Nous sommes capitalistes, pas de doute là-dessus" revendique le patron de Google. A l'heure actuelle, l'Angleterre, la France, mais aussi l'Italie et l'Austalie ont l'intention de taxer davantage le géant du net. Paris réclame d'ailleurs un milliard d'euros à Google au titre d'un redressement fiscal.