Benalla : Quelqu'un de bien

« En discutant avec les gens, je me suis aperçu qu'il y a eu une forme d'identification. Ils se sont dits : si les médias l'ont traité comme ils nous traitent nous, ça doit être forcément quelqu'un de bien », avance l'ex-conseiller de l'Elysée dans une analyse rapportée par Le Soir, de Bruxelles (Belgique). 

Son livre, "Ce qu'ils ne veulent pas que je dise" est paru le jeudi 7 novembre. Edité chez Plon, tiré à 60.000 exemplaires, il évoque en 280 pages la descente des Champs-Elysées avec les Bleus, la mort de Johnny Hallyday et, bien sûr, son rôle à l'Elysée et ses dérapages... Il écrit « Je suis le fusible utile du pouvoir », relève Europe 1.  Quelques détails sont aussi donnés par 20Minutes sur « le complot des technocrates en costume gris ».

Reste "l'affaire Benalla", toujours pas jugée
 

Le vrai souci d'Alexandre Benalla, c'est "l'affaire" du 1er mai 2018 qui a provoqué son licenciement de l'Elysée, lorsque, faux policier, il interpelle des manifestants. Il est mis en examen pour ...

"violences en réunion n’ayant pas entraîné d’incapacité temporaire de travail", "immixtion dans l’exercice d’une fonction publique en accomplissant des actes réservés à l’autorité publique", "port et complicité de port prohibé et sans droit d’insignes réglementés par l’autorité publique", "recel de violation du secret professionnel" et "recel de détournement d’images issues d’un système de vidéo protection".

Par la suite, il y a une enquête dans ce qu'on appelle l'affaire de l'oligarque russe, engagé dans un contrat avec la société de surveillance de Vincent Crase, France Close Protection, diont Alexandre Benalla aurait reçu un salaire. Ce n'est pour l'instant qu'une enquête.