Présidentielle : Nicolas Sarkozy attaque son rival sur la sécurité.
Publié le Par Jennifer Declémy
En meeting hier dans son département, le président-candidat a embrayé sur le drame de Toulouse pour mieux piéger son rival sur le terrain sécuritaire.
Hier Nicolas Sarkozy était de retour dans son département, son fief originel, pour parler sécurité et tacler François Hollande sur ce sujet qui avait toujours mis mal à l'aise la gauche, taxée d'angélisme et de laxisme.
En meeting à Rueil-Malmaison, le chef de l'état a d'abord déploré le fait que le candidat socialiste "n'a voté aucune des lois antiterroristes derrière lesquelles il s'abrite aujourd'hui", embrayant sur l'argumentaire traditionnel de l'UMP selon lequel la gauche est coupable de ne pas voter les lois que la droite veut faire passer en France. La critique vise aussi le refus des socialistes de voter les lois annoncées jeudi avant l'élection présidentielle.
Le rassemblement a également été l'occasion pour le candidat de défendre à nouveau l'intervention du Raid et les forces de police, à l'instar des membres de son gouvernement qui étaient déjà montés au créneau (voir ici). "Je ne laisserai personne remettre en cause l'honneur du Raid et de forces de police qui ont mis fin à la trajectoire d'un individu monstrueux (...) je ne laisserai pas remettre en cause ces hommes qui veillent sur notre liberté". Il a enfin rendu un hommage appuyé à son ministre de l'intérieur qui a supervisé toutes les opérations à Toulouse.
veritas
25/03/2012 12:53
De toute façon ce que dit Francois Holland est incompréhensible on dirai qu'il ne croit pas ce qu'il dit qu'il récite un texte et en plus il est mauvais. Franchement j'ai fait des effort pour écouter chaque canditat mais entre mélanchon et lui je décroche au bout de 5 minutes je me trouve en train de faire la vaisselle, ecrire la liste de mes courses. Franchement avec cette histoire d'assassinat des enfants et des militaires, je pense que le raid et la police et le gouvernement ont empêché le meurtrier (terroriste) de tuer plus de gens. Ils ne l'ont pas eu vivant c'est la vie. Franchement il meritait la peine de mort. En plus la gauche qui mettent les choses en attente alors que c'était un drame 7 morts cela ne leur suffit pas.