Val-de-Marne (94) Société

Fontenay-sous-Bois : ouverture du procès pour viol collectif

Publié le  Par Julie Catroux

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Le procès des quinze hommes accusés de viols collectifs sur deux jeunes filles entre 1999 et 2001 s’ouvre aujourd’hui mais les habitants du quartier de Larris semblent encore bouleversés par cette affaire.

 

 

Le procès des quinze hommes accusés de viols collectifs sur deux jeunes filles entre 1999 et 2001 s’ouvre aujourd’hui devant la cour d’assises de Créteil. Plus de dix ans après les faits, les langues ont du mal à se délier dans le quartier de Larris marqué profondément par cette affaire. « Il n’est pas question d’omerta mais d’un épisode très douloureux. Des fratries entières ont été mises en garde à vue », souligne une habitante du quartier.

 

En 2005, près de cinq ans après les faits, une jeune femme porte plainte, suivie par une seconde. Quarante adolescents ont été interpellés.« Vous imaginez les dégâts? Les victimes ont accusé pas mal de monde et les policiers ont interpellé les suspects chez leurs parents, pistolet au poing ». « Il y a des coupables mais il y a aussi eu des amalgames. Parce qu’Untel était copain avec Machin, il a été arrêté », estime une habitante. « Ils sont pères de famille, ont refait leur vie. On n’a vraiment pas envie de parler de ça », insiste un autre.

 

 







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GOTHIER

12/10/2012 15:02

« Ils sont pères de famille, ont refait leur vie. On n’a vraiment pas envie de parler de ça »
Parler de ça!!!!... "ça" c'est une pratique sauvage que détruit la vie de celle ou celui que l'endure! Comme peux t on rester insensible à ce point quand on connaît ce qu'ils font endurer ses hyènes à un être humain. Dire « Ils sont pères de famille, ils ont refait leur vie...." quand ils ont détruit impunément la vie d'autres (car des filles et des garçons dans ce cas il n'y a pas que Nina) ce n'est vraiment pas quelque chose que devrai nous arrêter pour les punir!!! Le plus important ce n'est pas de donner satisfaction aux victimes aujourd'hui, pour ses pauvres le cauchemar se répétera dans leur tête pour le reste de leurs jours. L'urgence est d'envoyer un message clair pour montrer la gravité de ces faits, d’éviter dans le possible que ses crimes se répètent et d’autres vies soient détruites.

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Anonymous

12/10/2012 15:02

« Ils sont pères de famille, ont refait leur vie. On n’a vraiment pas envie de parler de ça »
Parler de ça!!!!... "ça" c'est une pratique sauvage que détruit la vie de celle ou celui que l'endure! Comme peux t on rester insensible à ce point quand on connaît ce qu'ils font endurer ses hyènes à un être humain. Dire « Ils sont pères de famille, ils ont refait leur vie...." quand ils ont détruit impunément la vie d'autres (car des filles et des garçons dans ce cas il n'y a pas que Nina) ce n'est vraiment pas quelque chose que devrai nous arrêter pour les punir!!! Le plus important ce n'est pas de donner satisfaction aux victimes aujourd'hui, pour ses pauvres le cauchemar se répétera dans leur tête pour le reste de leurs jours. L'urgence est d'envoyer un message clair pour montrer la gravité de ces faits, d’éviter dans le possible que ses crimes se répètent et d’autres vies soient détruites.

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