Paris (75) Sport

PSG, droit au but : le jour d’après

Publié le  Par Lucie Oleszkiewicz

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Si le PSG a bien géré son match post Ligue des Champions face à Reims (4-1), notre supportrice de l’OM note le retour de quelques (mauvaises) habitudes.

Le retour en Ligue 1 après un match de Ligue des Champions est souvent compliqué. Pas pour les Parisiens. Quatre jours après sa victoire à domicile contre Chelsea (2-1 : buts d’Ibrahimovic et de Cavani pour Paris - but de Mikel pour les Blues), le PSG s’est facilement imposé face à Reims (4-1 : doublé d’Ibrahimovic, buts de Van der Wiel et Cavani - but d’Oniangué pour les Rémois).

Une boulette et un hors-jeu

Comme contre Chelsea, le PSG a ouvert le score (1-0 : but de Van der Wiel). Et comme contre Chelsea, les Parisiens se sont rapidement fait reprendre (1-1 : but d’Oniangué). Et les Rémois peuvent remercier Kevin Trapp pour cette égalisation ! Sur un coup franc tiré par De Préville, le portier allemand sort à contre-temps, se fait devancer par Oniangué et percute même son coéquipier Kurzawa.
 

 

 


Auteur d’un très bon match face à Chelsea, Trapp prouve encore une fois son inconstance et subit les moqueries sur twitter.
 

 

 


Mais comme souvent cette nouvelle boulette du gardien est sans conséquence. Les Parisiens ont rapidement repris l’avantage grâce à ses deux attaquants : Cavani (et oui, depuis Chelsea l’Uruguayen ne s’arrête plus de marquer ! sic), et Ibrahimovic. Ce dernier a même signé un doublé grâce a un super but… hors-jeu !

 

 


L’histoire d’amour entre l’arbitrage français et le PSG continue !

Lavezzi, ce héros

Autre ombre au tableau : la sortie prématurée de Di Maria qui aurait ressentie une douleur derrière la cuisse. Le départ d’Ezequiel Lavezzi pour la Chine et le Hebei China Fortune n’est peut-être plus une si bonne idée et inquiète certains.

 

 


C’était l’autre événement de la soirée au Parc des Princes : les adieux du milieu offensif argentin ! Trophée remis par le Président, ovation, chant et coup d’envoi fictif… Tout avait été prévu pour le départ du numéro 22 parisien. Les nombreuses critiques et sifflets dont il a été victime ont vite été oubliées. C’est bien connu les supporters ont la mémoire courte ! Plus que ses performances sur le terrain, c’est son rôle d’ambianceur du vestiaire et des soirées parisiennes qui va manquer !

 

 


Quand on sait que l’autre « ambianceur » du vestiaire était Serge Aurier
 

Lucie Oleszkiewicz







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