Renault exige des concessions aux syndicats sous peine de fermeture d'usines.

Pour beaucoup cela s'apparente à du chantage. La direction de Renault pose ses conditions aux syndicats pour maintenir ses usines en France et ce alors que direction et syndicats sont engagés dans des négociations sur la compétitivité. Ainsi, la direction "pourrait s'engager à ne pas fermer d'usines en France, malgré un marché européen sans véritable croissance à l'horizon du plan Renault 2016".

"Cela ressemble surtout à du chantage. La direction fait porter sur les syndicats le sort de l'entreprise. Ils nous disent : si vous ne bougez pas on fermera les usines" critique  un délégué CGT de l'entreprise. Renault cherche en France à faire baisser les coûts fixes sur ses neuf sites de production.