France Société

Mediator : Marisol Touraine monte au créneau pour que les victimes soient indemnisées.

Publié le  Par Jennifer Declémy

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La ministre de la santé veut que l'Oniam modifie ses critères d'examen des dossiers d'indemnisation de victimes, qui pourraient n'être que 15% environ à recevoir une compensation dans le scandale du Mediator.

La ministre de la santé, Marisol Touraine, monte au créneau pour améliorer les possibilités d'indemnisation des victimes du Mediator, alors que d'après les premiers dossiers examinés par l'Ondam, une petite minorité pourrait seule recevoir indemnisation. La ministre demande donc à l'Oniam de modifier ses critères d'examen des dossiers.

 

"Il faut que cette commission reprenne sa manière de travailler (...) et qu'il n'y ait pas d'hommes et de femmes qui se sentent victimes de la commission alors qu'ils ont été victimes du Mediator" indique Marisol Touraine qui avait déjà pointé cette semaine la responsabilité du laboratoire Servier. "Le doute ne doit pas profiter aux laboratoires Servier" insiste la ministre pour qui l'Oniam doit se "prononcer dans un esprit de rapidité, d'ouverture et de justice".

 

 







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brochet

06/10/2012 16:07

Honte à la ministre ! Depuis le départ de cette affaire du Médiator, n'importe quel esprit doté d'un minimum de bon sens comprend qu'il s'agit vraisemblablement d'une attaque d'un (ou de plusieurs) concurrent(s). Le seul problème, c'est que les médecins, qui ont à tort prescrit ce médicament en tant que "coupe-faim" ne sont pas prêts de le reconnaître ! Pour les victimes potentielles (car rien ne prouve que c'est le Médiator l'origine de leur pathologie !), je trouve l'attitude "petite", mesquine et somme toute lamentable. Les hommes et les femmes dignes commencent à en avoir assez de cette victimisation perpétuelle avec gains illicites en toile de fond !...

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Anonymous

06/10/2012 16:07

Honte à la ministre ! Depuis le départ de cette affaire du Médiator, n'importe quel esprit doté d'un minimum de bon sens comprend qu'il s'agit vraisemblablement d'une attaque d'un (ou de plusieurs) concurrent(s). Le seul problème, c'est que les médecins, qui ont à tort prescrit ce médicament en tant que "coupe-faim" ne sont pas prêts de le reconnaître ! Pour les victimes potentielles (car rien ne prouve que c'est le Médiator l'origine de leur pathologie !), je trouve l'attitude "petite", mesquine et somme toute lamentable. Les hommes et les femmes dignes commencent à en avoir assez de cette victimisation perpétuelle avec gains illicites en toile de fond !...

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