France Société

La corrida est jugée conforme à la constitution.

Publié le  Par Jennifer Declémy

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Le conseil constitutionnel a jugé que la pratique de la tauromachie était conforme à la constitution française.

Les associations de défense du droit des animaux n'ont pas obtenu gain de cause dans leur requête d'annulation de la pratique de la tauromachie en France, le Conseil constitutionnel jugeant qu'organiser des corridas était légal, d'autant que cela ne concerne que quatre régions en France.

 

Selon les juges, il n'est pas anticonstitutionnel de prévoir "des différences de traitement" entre les régions pratiquant la tauromachie et celles ne la pratiquant pas. Les associations de défense s'appuyaient notamment sur le code pénal qui punit les actes de cruauté envers les animaux. Pour les défenseurs de la corrida en revanche, cette dernière "revêt un intérêt général, un pluralisme culturel, social et régional" et il s'agit "d'une tradition locale ininterrompue" et que "l'animal ne bénéficie pas d'un droit absolu et peut être chassé ou élevé pour la consommation".







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Murat

21/09/2012 10:56

Comment un pays qui donne des leçons au monde entier peut-il accepter sur son territoite une telle horreur ! Merci Hollande, on s'en souviendra !

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Anonymous

21/09/2012 10:56

Comment un pays qui donne des leçons au monde entier peut-il accepter sur son territoite une telle horreur ! Merci Hollande, on s'en souviendra !

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Decrauze

21/09/2012 11:05

A notre guerrière danse –

J’y suis allé une fois, j’ai apprécié une forme d’esthétisme du danger, compris l’engouement de certains, mais développé au fur et à mesure des prestations un écœurement face aux mises à mort précédées des affres de la bête saignée. Comme un trop plein de barbaque. Cabrel s’était mis à la place du taureau, j’ai tenté un texte pouvant être revendiqué par les deux ennemis mortels : http://pamphletaire.blogspot.fr/2011/04/notre-guerriere-danse.html

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Anonymous

21/09/2012 11:05

A notre guerrière danse –

J’y suis allé une fois, j’ai apprécié une forme d’esthétisme du danger, compris l’engouement de certains, mais développé au fur et à mesure des prestations un écœurement face aux mises à mort précédées des affres de la bête saignée. Comme un trop plein de barbaque. Cabrel s’était mis à la place du taureau, j’ai tenté un texte pouvant être revendiqué par les deux ennemis mortels : http://pamphletaire.blogspot.fr/2011/04/notre-guerriere-danse.html

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