Guillaume T., étudiant, se serait suicidé

A l'origine de l'affaire, un tweet signé Prunille, le pseudo de Guillaume (son nom n'est pas connu), détaille LeParisien... Hébergé en octobre 2018 chez Maxime Cochard (élu PCF du 14e arrondissement) et Victor Laby, il aurait été violé. Son compte Tweeter indique une naissance le 29 février 2000. il avait donc 18 ans depuis février. Ce qu'il dit dans son tweet...

Un rassemblement de soutien et d'hommage est proposé devant le siège du Parti communiste, place du Colonel-Fabien, ce mercredi 10 février à 16 heures. Guillaume T. est considéré comme un pionnier dans l'expression d'un #metoogay.

Hommage à Guillaume de la part des quelques membres de la CLAP ayant brièvement milité avec lui
On ne t'oubliera pas, camarade.
Que justice soit faite, pour lui et pour tous les autres.#JusticePourGuillaume pic.twitter.com/CujhZV4aVg

— Clapaname (@clapaname) February 10, 2021

Rassemblement d’hommage à Guillaume, militant @FSE_natio à Nanterre à l’origine du #MeTooGay. De nombreux proches et militant.e.s se sont rejoins pour dire leur tristesse. #PasUndePlus pic.twitter.com/fWegwd4gKM

— Révolution Permanente (@RevPermanente) February 10, 2021

Juridiquement, il faut rappeler l'innocence des deux mis en cause : Maxime Cochard et Victor Laby sont acccusés sur Twitter mais n'ont pas été jugés ni condamnés. Le plaignant étant décédé, il ne pourra pas témoigner devant une cour. Si l'action publique s'éteint par la mort d'une personne mise en examen, là, il suffirait que Guillaume T. ait été valablement entendu pour que ses accusations demeurent, sans aucun espoir qu'il revienne sur la question du consentement.

Maxime Cochard, de son côté, avait répondu sur Twitter qu'il s'agissait d'une relation conserntie et avait annoncé une action contre une «diffamation », rappelle BFMTV...

pic.twitter.com/rHSBmoYrls

— Maxime Cochard (@MaximeCochard_) January 21, 2021