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Piotr Pavlenski a mis le feu à la Banque de France
Publié le Par Fabrice Bluszez
Sarah Constantin
L'artiste russe Piotr Pavlenski, qui avait trouvé refuge en France, a mis le feu cette nuit à une porte d'entrée de la Banque de France, à Paris. Il a été arrêté.
Controversé en Russie, où il est opposant à Vladimir Poutine, l'artiste russe Piotr Pavlenski avait trouvé refuge avec sa compagne et ses enfants en France, à la mi-janvier 2017, bénéficiant, depuis mai, de l'asile politique.
Dans la nuit du dimanche 15 à ce lundi 16 octobre, il a mis le feu à une porte de la Banque de France, place de la Bastille, à Paris. Il a justifié son geste dans un communiqué :
« La Banque de France a pris la place de la Bastille, les banquiers ont pris la place des monarques »
L'artiste Piotr Pavlenski, 33 ans, a été interpellé. Il s'était fait remarquer en Russie par de nombreux gestes artistiques un peu fous et spectaculaires, dans lesquels il apparaissait nu.
Il s'est cousu les lèvres, s'est enroulé nu dans du fil de fer barbelé devant l'Assemblée législative à Saint-Pétersbourg, s'est cloué la peau des testicules au sol devant le mausolée de Lénine, a escaladé nu un mur d'enceinte du centre Serbski à Moscou et s'est coupé un morceau d'oreille. Il a aussi convié des prostituées à son procès et a été interné trois semaines. Cela dit, il a été jugé sain d'esprit.
Cette autre vidéo, signée Radio Free Europe, relate sa libération à l'issue de son procès en Russie.
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Alexander KIRIYATSKIY
17/10/2017 00:15
La France m'a persécuté depuis 2006 jusqu'à 2012 sans peine http://asile-politique.blogspot.ch/2016/06/recours-au-tribunal-administratif.html . Si j' avais demandé l'asile en France, comme au Canada en 2005 j'aurais reçu la réponse négative de 1999 à 2017. Pourquoi? Parce qu'au XXIe siècle en Europe les "peintres reconnus" ne sont que les stupides malades mentaux comme Piotr Pavlensky, alors ces mêmes "peintres" n'ont dessiné aucun dessin pendant toutes leurs vies. Maintenant, l'Europe intitule tous les concepts noirs par ces derniers blancs et au contraire . C'est la raison pour laquelle mon MA de la meilleure université italienne de Trente (Trento) avec mes 3 ans à l'Ecole Doctorale de Strasbourg http://etudes-de-kiriyatskiy.blogspot.ch/2017/06/etudes-universitaires-dalexander.html sont évalués par leurs niveaux bien plus bas que mon diplôme du premier niveau soutenu en Ouzbékistan,car cette même république post.soviétiques est MUSULMANE comme Afghanistan. Ma lettre au recours et la réponse du tribunal à cette même appellation expliquent http://kiriyatskiy-alexander.blogspot.ch/2017/07/contre-la-russophobie-en-europe-et-en.html pourquoi l'Europe contemporaine popularise les stupides comme Piotr Pavlensky et rejette les poètes comme moi, Alexander Kiriyatskiy http://kiriyatskiy-poesie-en-fr.blogspot.ch
https://www.youtube.com/watch?v=sb_Av7axebM&index=18&list=PL0E36675F83995F43
Pour M. le Capitaine Sergueï Alexandrovitch Choumilov
Aujourd'hui et en France, Galitch est la bête,
Téléphone au cent quinze, l'on bat mes poètes.
Réfugié, par ton front, un drogué rompt l'assiette,
Mange comme ces français sans raison et sans tête
Ta Russie se rappelle dans mon cœur
Tienne ton sac sous ta main, ce destin nous rejette,
Dors sans pied! Réveilles-toi à six heures
Hors des fêtes!
Les bandits volent, nous mentent: ils cessent de sentir
Leur douleur pour quelle drogue! Car obtiennent le plaisir.
L'âme sauvage voudrait tuer l'autre forme pour rire,
Trouve la cause claire afin d'obliger, à souffrir,
Un vieillard, requérant de l'asile
Au passé, celui-ci dirigeait son navire
Commercial, voyageait vers les îles
Pour dormir
Dans une salle avec ses animaux, dans les nuages,
Qui ne sont plus les hommes, car ils n'ont que leur rage,
Portent l'ère des souffrances dures à tous nos âges.
L'un de ses diables vifs te dévoile son visage.
Il menace notre vieux capitaine
À Strasbourg, l'Homme ne perd pas l'honneur et ses sages,
Où il ne s'abaisse pas jusqu'aux chiens,
En dommage.
Toute la nuit avec soi, les ivrognes parlent. Crient,
Et, parfois, ces stupides pissent dans leurs literies.
Au matin, l'on donne la nourriture, l'ordre rit.
À sept heures, l'homme quitte ce bâtiment triste, gris...
Le malade très âgé est à pieds
Tout le jour. Pour cette vie en Europe, c'est son prix.
Dans douze heures, il revient au foyer
De souris.
L'on dit qu'il n'est pas le réfugié. Ce statut
Conduit le capitaine aux drogués qui nous tuent.
Dont il prie l'aide trop tard, ce vieillard a perdu
Le printemps, car, il y a vingt ans, il avait dû
Embarquer son bateau à New-York
Et l'asile politique pouvait être vendu.
À l'océan, il rattrape l'os de l'orque
Dépendu.
Je ne suis pas artiste https://www.youtube.com/watch?v=DBJGfOoXtp0&index=17&list=PL0E36675F83995F43 comme le bandit Piotr Pavlensky sans droit sur la consécration de mes diplômes http://www.er.uqam.ca/nobel/m310014/apropos1.htm que je travaille toujours aux champs sous l'averse depuis 1999 jusqu'à 2017, alors que "l'artiste" Pavlensky enseigne à l'Université de Sorbonne sans certificat de quelque école secondaire: Règle dure du court essai / Alexander KIRIYATSKIY
Règle dure du court essai
N’étudiez pas leur français,
Ce langage veut me laisser
Pour l’élite qui commençait
À me tuer, vous battre.
Crache, sa civilisation,
Sur tous sans consécration,
La sagesse a cette fiction,
L’être du théâtre.
Je suis vieux et sans anglais!
Où plus tard dois-je aller?
Et, sans allemand poulet,
Sache mes langues.., quatre
Inutiles patois romans
Qui abaissent nos russes savants
Pour caver vos champs pendant
Toute la vie bien ladre.
Justifiez l’argent des hommes
Par leurs magnifiques diplômes:
«Avec eux, ramasse nos pommes,
Toi, esclave des listes
Noires du haut service secret!»
Là se trouve mon nom concret.
C’est pourquoi, j’ai consacré
Mes idées très tristes
À l’Europe totalitaire
Qui était aimable hier
Pour nos russes pendant la guerre
Froide, car il existe
Votre crainte de dire: «Non»
Aux stupides sans instruction
D’ombre soviétique, aux trônes
D’or et aux ministres.
Aujourd’hui il n’y a nulle peur
Et l’on crie: «Non» aux jongleurs
Des métriques, car leur honneur
A l’indépendance.
En histoire inscrit est qui?
Chaque médiocre comme Brodsky!
Ô leur pierre, qui fait du ski,
Ne passe nulle distance
Sans nombreux fils de fortunes!
Au temps nécessaire de Lune,
L’on illustre vos ères brunes
Et formule nos chances
De monter dans l’escalier,
Où la paix fait annuler
Son bonheur des herbes liées
Au pouvoir qui pense.
Préfecture de Strasbourg, je prie l’ordre pour moi,
Je viendrai pour te dire: «Touche ta merde!»,
Je voudrai demander tous: «En outre, pourquoi
Tu abaisses nos étoiles en prisons par tes lois?»
Tu massacres l'amour que l’âme perde
Ses espoirs sous ta cour de l’homme pauvre sans droit.