Paris2024Express (1)/Céline Dion est (très) attendue !
Publié le Par Jacques-Henri Digeon
Il y a bien sûr le sport, les performances, les surprises, bonnes et mauvaises et les médailles. Mais il y a aussi les à-côtés de Paris2024.
Malgré la polémique (qui peut-être se rallumera...) Aya Nakamura chantera bien lors de la cérémonie d'ouverture. Outre ses succès, elle devrait, du haut du pont des Arts, interpréter Aznavour avec, selon L'Equipe, "For me formidable" et "La Bohême". Mais la plus attendue pourrait bien être Céline Dion. Selon plusieurs sources, la chanteuse canadienne qui a été aperçue mercredi chez Dior, effectuerait son grand retour sur une scène avec "L'hymne à l'amour" d'Edith Piaf. Sont cités encore Lady Gaga, le groupe de métal Gojira (selon France Info et Le Parisien). Ou encore Philippe Catheriine ou Juliette Armanet accompagnée du pianiste Sofiane Pamart pour une originale reprise du "Imagine" de John Lennon...
La Seine en scène. Côté artistique encore, soulagement dû côté des danseurs. Lundi, lors du filage, 200 d'entre eux, poings levés, avaient menacé de faire grève vendredi sur les quais de la Seine près de l'Hôtel de Ville pour protester contre l'absence de défraiement d'hébergement. Notamment les intermittents venant de province. Finalement, accord a été trouvé. On dansera donc bien sur les bords de Seine...
Casquette... Aux récents championnats d'Europe, Sounkamba Sylla, relayeuse du 4x100 m, de confessions musulmane, avait couru avec une casquette à laquelle était fixé une bande de tissu pour cacher entièrement ses cheveux. Après discussions et soutien des athlètes, la sprinteuse pourra finalement défiler au sein de la délégation française avec sa casquette de couleur bleue...
… et jupe. « Il n'y a pas d'hommes/femmes dans la mode de maintenant ». Partant de ce principe, Sasha Zhoya, hurdler de 110 haies mais également enseigne de monde Berluti, voulait défiler en jupe. Là encore, il a fallu discuter avec le Comité olympique français qui aurait accepter cette tenue originale. Mais selon Le Parisien/Aujourd'hui en France, il aurait finalement renoncer et portera bien un pantalon vendredi...
Espionnage. Analyste de l'équipe féminine de foot du Canada, Joseph Lombardi avait trouvé un bon moyen d'en savoir un peu plus sur le onze de Nouvelle-Zélande (match ce jeudi à 17 heures). Et donc, quelle ne fut pas la surprise des Néo-Zélandaises de se voir survolées par un drone pendant leur entraînement... qu'elles ont immédiatement interrompu au stade Geoffroy-Guichard de Saint-Etienne. Placé en garde en vue, le technicien a reconnu les faits et pourrait être sanctionné. Quant à la sélectionneuse nord-américaine Bev Priestman, elle a décidé de ne pas être sur le banc de touche...
(Sources : L'Equipe, Le Parisien/Aujourd'hui en France, Ouest-France, sites internet)