38 jours haute tension au PSG

Enterrées les deux défaites en Ligue 1e à Lens et à Rennes, oubliée la mini-tournée de promotion en Arabie Saoudite, contrat rempli en Coupe de France avec la balade (7-0) contre le Pays de Cassel au stade Bollaert... Le PSG va revenir aux affaires en Ligue 1, Coupe de France et Ligue des champions. Des affaires de haute tension avec un mois de février d'enfer qui, s'il se passe bien, remettra le club parisien sur une belle dynamique. Mais dans le cas contraire, les jours risquent d'être teintés de doutes, sinon de crise.

Après la réception de Reims dimanche prochain, (29 janvier), les Parisiens se rendront à Montpellier (1er février), une équipe en plein désarroi après le 0-3 encaissé sur sa pelouse face à Nantes et recevront Toulouse (4 ou 5 février), équipe de milieu de tableau. Avec trois victoires, le PSG qui n'a que trois petits points d'avance sur un RC Lens en plein ''boum'', conforterait sa position avant d'entamer une grosse quinzaine peut-être décisive pour son avenir 2023.

Jugez-en :

mercredi 8 février, 1/8e de finale au Stade Vélodrome contre un OM qui aligne les succès probants ; samedi 11 ou dimanche 12 février, voyage en Principauté face à des Monégasques qui semblent avoir trouvé la bonne carburation ; mardi 14 février, match aller de 1/8e de Ligue des champions contre le Bayern Munich ; retour en Ligue 1 le dimanche 19 février, avec la réception d'un Lille irrégulier mais capable de grosses perfs' ; et enfin, dimanche 26 février, retrouvailles avec Marseille en Ligue 1, et encore au Vélodrome.

Sacré programme auquel on ajoutera dans le panier un éventuel quart de finale de Coupe de France (28 février ou 1er mars), accueil de Nantes à la Porte d'Auteuil (3,4 ou 5 mars) et ''cerise sur le gâteau'', match retour à Munich (mercredi 8 mars).

Soit 38 jours au bout desquels le PSG sortira grandi ou en pleine interrogation...