Valérie Trierweiler s’imagine en ambassadrice de l’égalité des chances.
Publié le Par Jennifer Declémy
La nouvelle première dame, journaliste de profession, cherche encore ses marques dans un rôle qu'elle n'avait jamais cherché à occuper.
Hier, la nouvelle première dame française a expliqué qu’à l’avenir, elle s’imagine très bien en tant qu’ambassadrice de l’égalité des chances. « Ce qui m’intéresse, c’est le début, les enfants, l’égalité des chances » a-t-elle déclaré lors d’une visite au lycée français de Chicago.
« En France on fait un peu à sa manière. Il y a une attente, on reçoit énormément de courriers d’associations. Je verrai tout cela au fur et à mesure » a ajouté celle qui a encore beaucoup de mal à définir son nouveau rôle, alors qu’elle quitte un travail de journaliste politique qu’elle adore et à laquelle elle ne veut surtout pas renoncer. « Je compte bien abandonner, même si je ne mesure pas encore toutes résistances qui vont se présenter à moi. J’ai abandonné le journalisme politique, ça c’est une chose réglée, mais je compte bien continuer ».
Jusqu’à présent, les premières dames ont été reléguées à de simples rôles d’apparat, même si Cécilia Sarkozy fut une importante conseillère pour son mari les quelques mois où elle resta à l’Elysée, et Bernadette Chirac joua également un rôle dans l’ombre, très discrètement. Valérie Trierweiler, femme moderne et indépendante, doit encore composer son rôle pour les cinq prochaines années à venir.